Il est de sombres jours, où, sous les premières lueurs de l'aube amère,
Naissent d'obscurs desseins et de mornes désillusions, heurts sévères
A un monde horrible, scène macabre d'une époque archaïque
Dont les acteurs, esprits tourmentés, jouent l'acte tragique.
Il est de sombres jours, où l'espoir, chassé, écrasé,
Laisse place aux affres des doutes, aux craintes oppressantes et refoulées.
Où la désolation, comme une plaie ouverte suintent et gangrène.
Et où l'essence vitale s'éteint tel un cierge sous un vent de haine.
Il est de sombres jours, où l'angoisse tourmente.
Où les âmes perverties, dans une peine afflictive et infâmante,
S'avilissent dans le mépris d'un monde en fausse autarcie.
Où la mort, de sa voix sépulcrale, me susurre ses envies.
Il est de sombres jours, où l'angoisse tourmente,
Et, ces jours-là, la simple réalité me devient effrayante.
Naissent d'obscurs desseins et de mornes désillusions, heurts sévères
A un monde horrible, scène macabre d'une époque archaïque
Dont les acteurs, esprits tourmentés, jouent l'acte tragique.
Il est de sombres jours, où l'espoir, chassé, écrasé,
Laisse place aux affres des doutes, aux craintes oppressantes et refoulées.
Où la désolation, comme une plaie ouverte suintent et gangrène.
Et où l'essence vitale s'éteint tel un cierge sous un vent de haine.
Il est de sombres jours, où l'angoisse tourmente.
Où les âmes perverties, dans une peine afflictive et infâmante,
S'avilissent dans le mépris d'un monde en fausse autarcie.
Où la mort, de sa voix sépulcrale, me susurre ses envies.
Il est de sombres jours, où l'angoisse tourmente,
Et, ces jours-là, la simple réalité me devient effrayante.